Lorsque les femmes et les filles disposent des outils adéquats, elles peuvent ouvrir des voies de sortie de la pauvreté pour elles-mêmes, leurs familles et leurs communautés. Cependant, pour beaucoup trop d'entre elles, ces voies n'existent pas encore.

En Zambie, la pauvreté reste profondément ancrée dans les zones rurales. Les adolescentes sont confrontées à des taux d'abandon scolaire élevés. Les femmes ont du mal à accéder au capital, aux marchés ou à la formation professionnelle. La malnutrition maternelle et infantile reste très répandue, ce qui affecte les bases de l'apprentissage, de la croissance et des revenus futurs.

Ces défis se renforcent mutuellement. Il existe un énorme potentiel inexploité à grande échelle, car la Zambie est confrontée à d'importants déficits de capital humain qui persistent de la petite enfance à l'âge adulte, et à des interventions de fragmentation, cloisonnées ou qui ne parviennent pas à atteindre ceux qui en ont le plus besoin.

Avec l'aide de ses partenaires, le gouvernement s'efforce de changer cette situation, en s'appuyant sur l'expérience et les résultats positifs de la première phase du projet « Girls' Education and Women's Empowerment and Livelihoods Project » (GEWEL). La deuxième phase étendra les efforts à l'échelle nationale et reliera les transferts d'argent, l'éducation, la nutrition et les moyens de subsistance dans une plateforme intégrée. Elle a été lancée en mai 2025 avec un financement de 157 millions de dollars.

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